Gérard :

Gérard Verdun est un aede ,au sens grec du terme : poète qui chante ou plus proche de nous « fou chantant ». Il se définit aussi, non comme un poète rieur, mais plus dadaistement tel un mo(t)ète du port de Marseille.

Auteur, compositeur, interprète depuis la fin des années 1970, donc, sous influence du trio de têtes anarco-poètique Brel-Brassens-Ferré, talonnés de prêt par leurs poulains Nougaro, Béranger, Higelin, Lavilliers, Couture, Pau-Verdier, Gainsbourg et Art Mengo, autant que par leurs pouliches Fontaine, Sanson, Tékielski, Ringer, Sylvestre.

Comme tout poète maudit, nourrit du génie libertaire et de la pensée de midi, son verbe se conjugue aux temps de l’amour et de l’humour, comme aux temps passé-présent-futur de justice, de révolte, d’ironie et de la terre-mère sacrée. Ses rimes sont rythmées de rock, de punk, de jazz, de soul, de funk, de blues, de Zappa (le barje).

Pierre-Guy :

Autodidacte dans de nombreux domaines, j’ai débuté la musique dans les années 70 en jouant dans un orchestre de bal (Vibration) créé par Philippe (mon pote d’internat). 

Un petit passage par l’AMI (Atelier de Musique Improvisées) avec Alain Soler et Capucine Ollivier m’a permis d’acquérir les bases du jazz.

Depuis, j’ai touché à pas mal de chose en dilettante; guitare classique, quintet de jazz, musique actuelle amplifiée (MAA) et musique assistée par ordinateur (MAO) au conservatoire de Manosque dans la classe de David Carion et d’Arthur Billès. 

Sans oublier José (Walter), Thomas (Weirich),  Sébastien (Carretier), Christophe (Genoux), Carl (Bouchaux), Eric (Casanova), Christophe (Leloil) et Nicolas (Goussot) qui m’ont guidé durant mon parcours musical.